Ne passez pas à côté de cette saga culte, dont le premier épisode est promo sur Switch 2. C’est un peu comme GTA au Japon, mais c’est aussi bien plus que ça.
La fin d’année approche et avant de faire plaisir aux autres - Noël, tout ça -, il faut aussi penser à se faire plaisir soi-même ! Et si vous êtes un heureux possesseur de Switch 2, vous savez que l’eShop propose régulièrement des promos. Aujourd’hui, on est là pour vous parler de l’une d’elles : Yakuza Zero, qui est actuellement à -30% sur la dernière console de Nintendo, avec un prix qui passe de 49,99€ à 34,99€.
Retour aux origines
Si vous avez haussé le sourcil quand vous avez lu “Yakuza”, ne vous inquiétez pas, Yakuza Zero est là porte d’entrée idéale dans la saga - tentaculaire - de SEGA. Pas besoin de vous farcir une dizaine de jeux pour comprendre ce qu’il se passe : il s’agit là d’une préquelle complète.
Dans cette origin story, on incarne donc tour à tour deux personnages cultes : Kazuma Kiryu et Goro Majima, entre Kamurocho (Tokyo / Kabukichō) et Sotenbori (Osaka / Dōtonbori), le tout en 1988 au Japon. Kiryu devra lever le voile sur un meurtre dont il est accusé à tort. Majima, de son côté, sera tiraillé entre son désir de redevenir yakuza et sa conscience (pour être réintégré, il devra tuer une jeune femme innocente).
Un excellent cru
Bref, si vous voulez vous mettre à Yakuza, c’est l’endroit idéal pour commencer. À l’époque de sa sortie sur PS4, en 2017, le titre a reçu un 85% sur Metacritic. De notre côté, nous lui avions accordé la note de 16/20. “Yakuza 0 est un jeu à ambiance déroulant une histoire prenante dans un Japon 80’s criant de vérité”, peut-on lire dans notre test.
Qui plus est, sur Switch 2, il s’agit de Yakuza Zero Director’s Cut, qui comprend de nouvelles infos sur “les incidents clés de l'intrigue et l'histoire des personnages” (pour reprendre la description sur le site de Nintendo), des cinématiques inédites et même un mode multijoueur en ligne. Et puis, pas de souci à signaler sur la technique, ça tourne globalement comme un charme.