Un détail rigolo se cache dans Indiana Jones et la Dernière Croisade. Pour le voir, il suffit de mettre le film en pause à 1:03:01. On vous en parle dans cet article.
Pour pas mal de monde (dont moi), Indiana Jones et la Dernière Croisade est le meilleur épisode de la saga. La relation entre Harrison Ford (Indiana) et Sean Connery (son père) crève l’écran, et le film garde un équilibre assez exemplaire entre humour, action et mystère. En bref, si vous ne deviez voir qu’un seul Indiana Jones, ce serait celui-ci. Le film est dispo à la location sur à peu près toutes les plateformes de vidéo à la demande.
Un mystère plus grand que le Graal
Mais on est pas là pour vous chanter les louanges d’Indiana Jones 3. On est là pour vous parler d’un petit défaut de réalisation, qui se cache à 1h et 3min de film. En effet, à cette étape du long-métrage, Indy part secourir son père au château de Brunwald, en Autriche. Un château évidemment rempli de Nazis… Les deux hommes ne tardent pas à se faire repérer puis ligotés avant de mettre carrément le feu au bâtiment. Finalement, Harrison Ford et Sean Connery trouvent une sortie.
Bien conscient qu’il y a du monde à ses trousses, Indiana pense à une diversion : faire démarrer un petit bateau à moteur (vide) pour attirer l’attention des Nazis pendant que lui et son père se font la malle en side-car. Et pour en revenir à notre défaut de réalisation, c’est le bateau qui nous intéresse. En effet, à partir de 6min25 dans le vidéo ci-dessus, on peut voir une main drapée de noir qui sort d’une bâche pour diriger discrètement l’embarcation. C’est très discret, mais c’est là !
“Un défaut” qui s’explique facilement
On comprend aisément pourquoi Steven Spielberg (le réalisateur du film) a fait les choses de cette manière. S’il n’y avait eu personne pour diriger le bateau, il serait parti en ligne droite (en plein dans une forêt), et la diversion d’Indy et son père n’aurait pas été crédible. Mais là, ça passe comme une lettre à la poste. Il reste bien cette petite main qui traîne, mais c’est vraiment négligeable. À titre personnel, je n’avais jamais vu ce détail jusqu’à aujourd’hui.