Pour le retour de Luke Skywalker dans l’épisode 8 de Star Wars, Mark Hamill a imaginé une backstory particulièrement sombre qui lui a permis d’incarner au mieux le personnage à cette étape de sa vie.

Le destin funeste de Luke Skywalker

Avec Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi, Mark Hamill a pu enfin reprendre le rôle de sa vie, celui de Luke Skywalker, 34 ans après l'épisode VI. Un retour attendu par de nombreux fans qui n'ont peut-être pas tous été satisfaits par le résultat final, mais qui a au moins offert au personnage une profondeur jusqu'alors inédite. Mais si dans le film Luke finit par abandonner la voie des Jedi à cause principalement de sa relation avec son neveu, Ben Skywalker alias Kylo Ren, Mark Hamill avait quant à lui imaginé un tout autre background pour le héros. Invité au micro du podcast Bullseye, l'acteur a ainsi dévoilé la sombre histoire qu'il avait en tête au moment de reprendre le rôle.

Je me suis demandé ce qui pouvait bien pousser quelqu'un à abandonner sa dévotion à ce qui est fondamentalement une entité religieuse… à abandonner son statut de Jedi. J'ai convenu de l'amour d'une femme. Il tombe donc amoureux d'une femme. Il renonce à son statut de Jedi. Ils ont un enfant ensemble. À un moment donné, l'enfant, alors qu'il n'est qu'un tout jeune ramasse un sabre laser sans surveillance, appuie sur le bouton et est tué sur le coup… Sa femme est tellement accablée de chagrin qu'elle se suicide.

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Pour le meilleur et pour le pire

On reste assez peu convaincus par cette backstory funeste et franchement simpliste. Ceci étant dit, apporter de la noirceur à un personnage dont les origines sont teintées de ténèbres n'était pas forcément une mauvaise piste, d'autant plus au vu de cet épisode 8 qui comprend des éléments similaires, mais peut-être sous-exploités. Que l'on soit séduit ou non par les Derniers Jedi, force est d'admettre que Star Wars Episode 8 est peut-être le volet le plus intéressant de la postlogie et qu'il aurait pu s'avérer encore plus réussi si Rian Johnson avait pu aller au bout de ses idées.