Comme le premier épisode, Death Stranding 2 demande de prévoir pas mal à l’avance pour faire certaines choses. De mon côté, j’aurais aimé me souvenir de ce petit détail avant de me lancer !
Après six ans d’attente, les fans de livraisons en milieu post-apo peuvent enfin jeter leur dévolu sur Death Stranding 2. Vous vous en doutez, c’est la suite de Death Stranding premier du nom, le jeu de Kojima Productions (le studio d’Hideo Kojima) sorti à la base en 2019, sur PS4. Malgré les années, le cœur de l’expérience reste le même : acheminer des marchandises d’un endroit à l’autre, au sein d’une nature aussi belle que sauvage. Mais, il y a des moyens de se faciliter la tâche. Et ça, j’aurais préféré m’en souvenir.
“Sur ma route”
Comme dans le premier volet, Death Stranding 2 permet de construire des routes pour faciliter vos allers-retours dans l’open world (cette fois, ça se passe en Australie et au Mexique). Sauf que ces couches de béton superbement lisses, elles ne vont pas se faire toutes seules. Pour les faire apparaître, il faut des cristaux chiraux et surtout une bonne dose de métaux et de céramiques. On peut tomber sur ces matériaux juste en se baladant, mais dans tous les cas, il faudra les acheminer jusqu’à “l’auto-paveur” - le machin qui permet de construire une portion de route -, souvent à l’aide d’un camion.


C’est le chemin qui compte, pas la destination
Mais évidemment, vous ne trouverez pas mille matériaux sous une pierre. Pour assurer ses arrières et bâtir progressivement des voies, il faut donc mettre de côté des métaux et des céramiques petit à petit - ce que j’ai oublié de faire de mon côté. Pour ça, c’est simple : on se balade en camion, on ramasse ce qui traîne, et dès que le coffre est plein, on entrepose tout ça chez un Prepper (les personnes qui confient des livraisons) ou dans un relais, dont la capacité de stock est plus importante. Une autre astuce est de remplir les caisses du DHV Magellan, notre “vaisseau spatial” dans Death Stranding 2, qui a pour avantage de pouvoir se téléporter.
On trouve aussi plein de matériaux dans les camps de bandits. Dans ce cas, le mieux est encore de neutraliser tout le monde avant de faire ses courses (ce serait bête de mourir). Et pour reconstruire des routes plus vite, n’oubliez pas de jouer en ligne. Comme dans le premier volet, les ressources nécessaires à la construction des routes sont partagées entre joueurs. Ça vous fera gagner du temps.