28 ans plus tard : un retour triomphal du thriller horrifique acclamé par la critique

Titre original : "Un thriller horrifique plein de suspense" Noté 95% ce film bouleverse les critiques...

Noté 95% sur Rotten Tomatoes, le très attendu film d’horreur post-apocalyptique 28 Years Later marque le retour triomphal du réalisateur Danny Boyle et du scénariste Alex Garland.

Noté 95% sur Rotten Tomatoes, le très attendu film d'horreur post-apocalyptique 28 ans plus tard bouleverse les critiques, marquant un retour triomphal pour le réalisateur Danny Boyle et le scénariste Alex Garland. Troisième volet de la série, ce film prend place vingt-huit ans après la fuite du virus de la Rage d'un laboratoire de recherche médicale, tandis que des survivants ont appris à coexister au milieu des infectés. L'histoire suit une famille — Jamie (Aaron Taylor-Johnson), Isla (Jodie Comer) et leur fils de 12 ans, Spike (Alfie Williams) — vivant sur une petite île reliée au continent par une chaussée fortement défendue. Leur existence relativement paisible est bouleversée lorsque le père et le fils quittent l'île pour une mission périlleuse sur le continent, où ils découvrent les secrets, les merveilles et les horreurs du monde extérieur, y compris de nouvelles variantes d'infectés. Le film est disponible depuis ce 18 juin en salles.

"Un thriller horrifique plein de suspense" Noté 95% ce film bouleverse les critiques...

Un triomphe critique pour ce retour de saga culte

De manière globale, les critiques décrivent le long-métrage comme "un thriller horrifique plein de suspense", "magnifiquement sombre", "viscéral" et "brutalement émouvant", offrant une méditation sur la mortalité, la moralité, la famille et la signification de l'humanité. Damon Wise de Deadline a noté que le film est "de loin le plus politique des trois films", commentant "de manière particulièrement cinglante" le "Brexit britannique et sa mentalité d'île". Le critique de NME a également souligné comment le film, à l'instar de 28 semaines plus tard explorant la paranoïa post-7/7, se penche sur la folie de l'isolationnisme et la "folie ahurissante du COVID".

La réalisation de Boyle est décrite comme une "merveille technique", avec une attention particulière à la direction artistique, la cinématographie d'Anthony Dod Mantle et le montage de Jon Harris. Le film a été principalement tourné avec un iPhone 15 Max, des caméras d'action et des drones, rappelant l'approche du film original. La bande-son, composée par Young Fathers, est également saluée. Les performances des acteurs, notamment celles d'Alfie Williams et de Ralph Fiennes, sont jugées "uniformément excellentes", Fiennes portant une grande partie du poids thématique du film.