Comme on pouvait l’attendre de Rockstar, GTA 6 sera une satyre particulièrement crédible des États-Unis tels que nous les connaissons. Et la première bande-annonce le prouve on ne peut mieux.
Plus vrai que vrai
Alors que le monde entier a pu se rabattre sur le deuxième trailer de Grand Theft Auto VI il y a quelques semaines, la première bande-annonce continue d'être visionnée en long, en large et en travers. Il faut dire qu'il s'avère particulièrement riche et se voit truffé d'extraits plutôt insolites : la vie à Vice City n'est pas de tout repos et l'on peut y voir un alligator expulsé d'une piscine domestique, un homme nue se fait pourchasser dans la rue par un policier, un autre en string arroser la pelouse de son jardin, une femme armée d'un marteau s'approchant dangereusement de celui qui la filme, une autre twerker sur le toit d'une voiture en pleine course…
De prime abord, on pourrait croire à une véritable exagération de la part de Rockstar, après tout franchement doué pour extrapoler les faits sociétaux. Le hic, c'est qu'il s'agit quasiment d'une adaptation fidèle de la vraie vie : toutes ces scènes découlent de véritables faits divers, qui ont eu lieu en Floride et qu'internet a popularisé. Et pour illustrer ces propos, quoi de mieux qu'un comparatif vidéo ?
Un comparatif édifiant
Les GTA se sont toujours imposés comme de véritables satyres de la société américaine. Par le prisme de l'humour noir, parfois de l'absurdité, mais aussi de la criminalité, de la violence voire de thèmes beaucoup plus sombres (coucou GTA IV), Grand Theft Auto fait dans la critique acide d'un pays aussi brillant que décadent, qui continue de fasciner. Nul doute que l'immense map de GTA VI devrait le prouver une nouvelle fois.
Pour rappel, en plus du deuxième trailer, le jeu s'est offert un site internet qui se permet non seulement de décrire ses personnages principaux, mais aussi les nombreuses régions que l'on pourra explorer. Et le contenu s'annonce tout simplement gargantuesque : rendez-vous le 28 mai 2026 pour explorer tout ça en bonne et due forme.