Ce célèbre acteur d’Hollywood a été tellement accro à Oblivion qu’il a dû prendre une décision radicale pour s’en séparer, avouant ses sentiments entre haine et amour pour le jeu vidéo.
On le connait pour ses performances au cinéma dans Split, X-Men, mais James McAvoy a aussi une passion brûlante… pour le jeu vidéo. Plus précisément sur The Elder Scrolls IV : Oblivion, le RPG culte de Bethesda sorti en 2006 et dont le remaster est sorti il y a quelques jours. Dans une interview donnée à Forbes, l’acteur a révélé une anecdote inattendue pour beaucoup de monde : à un moment de sa carrière, il était si accro au jeu qu’il en dormait peu la nuit et prenait de moins en moins de temps à retenir ses répliques.
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Quand Oblivion devient une obsession
À l’époque, McAvoy tournait à Dublin et avait reçu une Xbox 360 de la part de sa partenaire. Depuis son enfance, le type de jeux qui l’intéresse le plus sont les RPG, car il adore les jeux de rôle fantastique. Mais un jour, la nuit de trop est tombée : durant une d’entre elles, alors qu’il devait se coucher tous les soirs à 22 h pour être réveillé à 6 h pour le tournage, il joua tellement qu’il se coucha à 5 h 35, mais quelques minutes plus tard, la voiture pour l’emporter klaxonna. C’est là qu’il décida de remédier à son addiction aux jeux vidéo.
Face à cette dépendance, l’acteur n’a vu qu’une seule issue pour reprendre le contrôle : se débarrasser du jeu une bonne fois pour toutes. Pas question de vendre le jeu ou de le mettre dans un placard. McAvoy la tout simplement brûlée dans le four. Une décision extrême, mais selon lui nécessaire pour son travail d’acteur.
J'ai juste posé le disque dessus et je l'ai regardé roussir et fondre un peu. Et je me suis dit : "Bon, c'est fini, c'est fini, plus jamais ! - James McAlloy

Une solution radicale
Un geste aussi absurde que révélateur de l’emprise qu’un jeu peut avoir sur nous, même sur les personnes les plus occupées. Il reconnaitra que cela lui a fait un peu de peine tant il adorait le jeu, mais il n’avait pas le choix s’il voulait retrouver un rythme de vie normal.
Plus tard, McAlloy devient papa et son fils, qui voue un amour pour le football, le fait replonger gentiment vers les jeux vidéo, et c’est là qu’il découvrira et aimera la licence FIFA. Pendant la pandémie de COVID-19, ils se qualifiaient tout les deux de quadragénaires et maintenant ils profitent tout les deux trois soirs pour jouer avec son fils : “on joue, on parle de la vie, d’amour tout en se faisant démolir par des gamins de 12 ans.”