Lors du dernier State of Play, Sony en a profité pour officialiser le retour de Days Gone par le biais d’un remaster sur PS5. Aujourd’hui, on en sait un peu plus sur la façon de se le procurer…
Le retour du motard
C'est donc officiel : Days Gone Remastered fera son arrivée sur PS5 le 25 avril prochain. À défaut d'avoir une suite tant réclamée par les joueurs et qui a d'ailleurs été refusée à Bend Studios par Sony, les joueurs pourront donc se rabattre sur ce portage current-gen qui se chargera d'apporter une meilleure résolution, un meilleur framerate (avec un mode Fidélité et un mode Performance), mais aussi la prise en charge de la 3D audio, du VRR ou encore des gâchettes adaptatives et des retours haptiques de la manette DualSense.
Ce n'est pas tout, puisque l'on pourra également découvrir du contenu supplémentaire, la plus grosse nouveauté reposant sur le mode Horde qui proposera tout un aspect scoring. Il y aura aussi le mode Mort Permanente, un autre dédié au speedrun, un mode Photo amélioré et tout un tas de nouvelles fonctionnalités d'accessibilité. D'ailleurs, tout ceci pourra être acheté dans la version PC de Days Gone par le biais du DLC "Broken Road", qui coûtera 9,99 euros.
Les abonnés du PlayStation Plus ne sont pas concernés
Days Gone Remastered sera donc vendu au prix de 49,99 euros sur PlayStation 5, en sachant qu'aucune version boîte n'est prévue et qu'il faudra donc passer obligatoirement sur le PlayStation Store. Si vous avez déjà la version PS4, en physique ou en dématérialisé, l'upgrade coûtera 9,99 euros. Une coûtume souvent décriée, mais à laquelle on commence à être habituée chez Sony.
Ce qu'on vient toutefois d'apprendre via le surbreddit dédié au PlayStation Plus, c'est que tous ceux qui sont abonnés au PlayStation Plus Extra ou Premium, et qui possèdent donc Days Gone via le catalogue en libre accès qui leur est dédié, vont tout de même devoir sortir la carte bleue… et payer le prix, soit 49,99 euros. Il n'est donc pas question de payer simplement l'upgrade, mais bien le jeu complet. Voilà, c'est dit.