Le septième art va bientôt nous offrir une nouvelle adaptation de Stephen King. Les critiques sont déjà tombées, et c’est très positif.

Attendu le 19 février dans les salles françaises, The Monkey marque une nouvelle adaptation d’une œuvre de Stephen King. Cette fois, il s’agit de la nouvelle éponyme publiée en 1980. À la réalisation, on retrouve Oz Perkins, le papa de Longlegs connu pour son approche psychologique de l’horreur (mais qui part ici dans une autre direction). Vous voulez savoir ce que ça vaut ? Eh bien, une partie des critiques a déjà rendu son verdict. Pour l’instant, sur le site Rotten Tomatoes, The Monkey récolte un score de 89% sur une trentaine d’avis.

On apprend pas au vieux singe à faire la grimace

L'histoire de Monkey suit deux frères jumeaux, Hal et Bill, qui découvrent un beau matin un vieux jouet de leur père (le jouet en question, c’est évidemment le singe qui prête son nom au film). Les garçons sont alors enfants et face à une série de morts inexplicables, ils décident de se débarrasser du maudit joujou et d’emprunter des chemins différents. Maintenant, les années ont passé, mais les tragédies reprennent de plus belle. Les jumeaux vont donc devoir se réconcilier pour mettre fin au massacre, pour de bon.

Mais The Monkey n’est pas un simple film d’horreur. Oz Perkins a apporté une touche personnelle à cette adaptation, en y intégrant des touches de comédie noire. Selon le réalisateur, ce choix permet de mettre en évidence l'absurdité et le caractère aléatoire de la mort. Une autre modification notable par rapport à l'œuvre originale concerne le jouet lui-même : le singe qui frappe des cymbales a été remplacé par un singe batteur. Ce changement a été motivé par des problèmes de droits d'auteur, la version avec les cymbales étant utilisée dans Toy Story 3 de Disney.

Malin comme un singe

La critique est globalement conquise par The Monkey. Sur RogerEbert.com par exemple, on salue la réalisation de Perkins, soulignant l'imagerie saisissante et le montage “parfait” du film. AV Club compare même le long-métrage aux Gremlins ou à un Destination Finale avec enthousiasme. Cependant, certains médias, comme Inverse, ont des réserves sur le film, le jugeant “désordonné” et critiquant son manque de cohérence dramatique. Pour vous faire votre avis, ce sera le 19 février !